« Puis, après ArToll, des maquettes (16) et des dessins (51) qui sont autant de projets d’installation. Ce
sont des espaces que l’on traverse. Ils sont occupés par des choses envahissantes, menaçantes, agressives, parfois plaisantes. Ils donnent la sensation d’une inquiétante étrangeté. Ma quête d’une
installation singulière et réalisable m’a conduite à multiplier dessins et maquettes. »
Extrait de Dégât Des Eaux, Fabienne Gillmann, janvier 2016, p.34